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Le booster de batterie auto : un outil très utile au quotidien

Le booster de batterie auto : un outil très utile au quotidien 2

Au moins une fois dans sa vie ou même plusieurs fois, la batterie de votre voiture peut vous lâcher sans prévenir. Des feux de croisement oubliés, avec ou sans signe de défaillance, une batterie à plat n’est pas rare. Il est toujours prudent de s’équiper d’un booster de batterie pour s’épargner des tracas au beau milieu de nulle part ou en pleine ville ou d’avoir à appeler un dépanneur ou d’attendre une âme charitable.

Qu’est ce qu’il faut savoir sur un démarreur de saut ou booster de batterie ?

Aussi appelé fast Jumper ou démarreur de batterie, c’est un outil qui permet de redémarrer votre voiture lorsque la batterie est à plat. Facile à transporter, c’est une batterie emboîtée que vous pouvez facilement ranger dans le coffre de votre voiture. Il est livré avec des pinces qui permettent de connecter les bornes de la batterie à démarrer. Pour l’utiliser, il suffit de brancher la pince de couleur rouge à la borne positive et la pince noire à la borne négative et d’activer le booster. Il faut au moins 2 à 3 minutes pour charger la batterie et lui permettre de démarrer. Si la première tentative ne marche pas, il faut recommencer l’opération après 3 à 4 minutes. Une fois que la voiture a démarré, déconnectez la pince noire puis la pince rouge. Le démarreur de batterie se charge à partir d’une prise secteur ou d’un allume-cigare. Il peut donc servir à n’importe quel moment et de manière autonome.

Il faut bien différencier booster de batterie et chargeur de batterie. Ce dernier est conçu pour charger entièrement la batterie de votre véhicule alors que le booster de batterie s’utilise uniquement pour délivrer une grande puissance pour démarrer la voiture.

Quels sont les meilleurs boosters de batteries 2021 ?

Avec le nombre de booster de batterie sur le marché, ce n’est pas facile de s’y retrouver. Voici une sélection des meilleurs boosters en fonction de leur performance.

  • Noco GB40 1000A : Numéro un des classements des ventes, c’est un produit de qualité aux finitions soignées. Son point fort est son intensité de 1000 A qui permet de démarrer facilement tout type de véhicule. Il peut faire 20 démarrages par charge, pèse 1,900 g, possède une torche et se glisse facilement dans le coffre de la voiture.
  • TacklifeT6 600A : C’est un booster de batterie efficace avec les meilleurs rapports qualité-prix. Équipé d’une lampe torche à 3 modes, il est indispensable en cas de panne nocturne. Il a la capacité de faire 30 démarrages par charge et pèse environ 500 g. Le Tacklife T6 est adapté aux véhicules essence jusqu’à 6,2 L et 5 L pour les véhicules diésel.
  • Yaber1 500A : Design un peu basique, il est pourtant facile à utiliser et son prix est également très abordable. Il est équipé de deux lampes torches à 3 modes et peut convenir à de nombreux véhicules. Il peut effectuer 30 démarrages à chaque charge et il est également muni d’un écran LCD qui affiche le pourcentage de la batterie.
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Pourquoi opter pour l’énergie solaire ?

Pourquoi opter pour l'énergie solaire ? 4

Alors que l’énergie solaire tend à se répandre de plus en plus sur le territoire français, de nombreux consommateurs manquent encore d’informations sur le sujet. Énergie renouvelable et propre, empreinte carbone minime, prix d’installation des panneaux en baisse, autonomie énergétique, chargement de véhicule électrique ou encore revente d’électricité, autant de mots-clés que tout le monde a déjà entendu au moins une fois. Mais, concrètement, qu’est-ce que cela signifie ? Pour quelle raison choisir l’énergie solaire pour sa maison ? Explications.

L’énergie solaire : une énergie renouvelable et propre

Bien entendu, comme vous pouvez vous en douter, le principal avantage de l’énergie solaire est d’être une énergie renouvelable. Le soleil étant toujours là à nous accompagner, il n’existe aucun risque de pénurie à long terme. Ainsi, vous n’avez plus à craindre de coupures dans le futur, puisque votre maison est alimentée naturellement. 

De même, l’énergie solaire ne rejette aucun dioxyde de carbone dans l’atmosphère, ni aucun gaz à effet de serre, ce qui est en fait une énergie propre. Certes, les panneaux photovoltaïques sont fabriqués avec des matériaux polluants, mais ils sont désormais tout à fait recyclables une fois arrivés en fin de vie.

L’énergie solaire : un prix d’installation qui baisse

Si par le passé, l’installation de panneaux solaires était réputée pour être excessivement chère, ce n’est plus tout à fait le cas aujourd’hui. Bien sûr, un investissement important reste nécessaire, d’autant plus selon la puissance choisie. Toutefois, depuis une dizaine d’années, le coût d’installation et de maintenance est véritablement en baisse (et on peut faire sois-même !). Cela s’explique par le progrès constant de la technologie photovoltaïque, et par une diminution des coûts des matières premières.

De plus, pour installer de tels équipements, il est possible de bénéficier de l’éco-prêt à taux zéro ou d’autres aides financières non négligeables, aussi bien sur le plan local que régional.

L’énergie solaire : une électricité économique

Peu importe vos habitudes et vos besoins en matière de consommation, l’énergie solaire vous permettra toujours de réaliser de considérables économies. Bien entendu, pour être autonome et vivre entièrement de votre production, il vous faudra investir dans des batteries, pour stocker l’énergie que vous n’utilisez pas directement et l’utiliser plus tard (par exemple lorsqu’il n’y a pas de soleil, la nuit, ou quand vos panneaux ne peuvent pas fonctionner de manière générale). De même, vous pouvez choisir de céder gratuitement votre surplus au réseau d’électricité local. Attention, pour cela, votre maison doit être reliée au réseau, ce qui vous permet par la même occasion de profiter de l’électricité traditionnelle en cas de besoin.

Enfin, n’oubliez pas que vous pouvez vendre l’énergie solaire produite par vos panneaux à un fournisseur. EDF a par exemple une obligation d’achat en la matière et peut conclure avec vous un contrat sur une durée de 20 ans. Ainsi, pendant toute cette période, vous avez l’assurance de pouvoir revendre votre électricité au prix convenu lors de la signature du contrat, sans que ce dernier ne puisse varier à aucun moment. À noter cependant que le tarif d’achat est tributaire de la puissance de votre installation.

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Comment choisir sa montre connectée ? 

<strong>Comment choisir sa montre connectée ? </strong> 6

On vit dans un monde formidable ! Il n’y a pas longtemps je me suis acheté un lave-linge (celui-là),cette machine fait tout et n’importe quoi en plus de laver tout bêtement le linge. Je me suis donc dis que j’allais me prendre une montre connectée, donc un objet qui fait tout en plus de lire l’heure ^^

Apparue il y a plusieurs années, la montre connectée est aujourd’hui un accessoire polyvalent : message, email, appel, agenda, suivi de l’activité physique quotidienne et de la qualité du sommeil, musique, etc. De nombreux modèles existent, comme l’Apple Watch, la Galaxy Watch de Samsung, les montres connectées Fitbit, Garmin ou encore Polar.

Technophile dans l’âme, vous souhaitez tenter l’expérience.je vous propose mon super mega guide d’achat pour savoir comment choisir une montre connectée. 

Choisir le système d’exploitation de sa montre connectée

À l’instar d’un smartphone, les montres connectées fonctionnent avec un système d’exploitation. Chacun de ces modes possède son ergonomie propre et ses applications. Voici les principaux systèmes d’exploitation : 

  • Watch OS est le système d’exploitation des montres Apple Watch. Compatible uniquement avec iOS (iPhone), il reprend toutes les fonctionnalités Apple (Safari, Plans, Mail, Musique, etc.), ainsi que l’assistant vocal Siri ;
  • Wear OS est une déclinaison d’Android de Google présent sur les montres Garmin, Huawei, Smartwatch ;
  • Tizen OS est le système d’exploitation créé par Samsung, il est compatible avec les fonctionnalités d’Android.

Choisir l’autonomie de sa montre connectée

Tout comme un smartphone, une montre connectée fonctionne sur batterie, qu’il faut recharger régulièrement. Selon le modèle, l’autonomie d’une montre connectée varie entre 2 et 16 jours. 

Choisir le mode de chargement

La plupart des modèles se rechargent avec un chargeur dédié, mais il existe également des montres connectées à la charge sans fil grâce à un tapis de charge.

Les fonctions supplémentaires à prendre en compte dans le choix de sa montre connectée

Pour choisir une montre connectée adaptée à vos besoins, voici une liste non exhaustive de critères à prendre en considération lors de votre achat.

  • La fonction GPS

Indispensable pour la navigation, le GPS d’une montre connectée sert également à enregistrer vos parcours lors de séances de marche, de vélo ou de course à pied en extérieur.

  • La connexion 4G

Certaines montres disposent d’une connexion au réseau mobile 4G permettant de recevoir les notifications de votre smartphone (messages, réseaux sociaux, etc.) et de passer des appels directement sur votre montre. 

À ce jour, seul Orange propose l’option une carte SIM virtuelle associée à l’abonnement d’un smartphone (uniquement pour les Apple Watch et Galaxy Watch compatibles).

  • Le suivi de l’activité physique

Les montres connectées peuvent proposer différentes fonctions permettant de suivre son activité physique, comme un cardiofréquencemètre pour les sportifs, permettant de mesurer l’activité cardiaque lors d’une activité physique, ou la fonction ECG (électrocardiogramme) capable de surveiller votre cœur en permanence et de vous avertir en cas d’anomalie.

  • L’étanchéité de la montre connectée

L’étanchéité de votre montre est pratique pour ne pas devoir la retirer à de multiples occasions (douche, lavage de main, piscine, etc.).

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Tout savoir sur le moteur des scooters électriques

Tout savoir sur le moteur des scooters électriques 8

Le véhicule électrique n’est pas une nouveauté, c’est dans la seconde moitié du 19è siècle que les premiers véhicules automobiles sont équipés d’un moteur électrique. 

Aujourd’hui, avec la batterie, le moteur est un des points essentiels dans le choix de son scooter électrique.

Le moteur des scooters électriques, comment ça fonctionne ?

Alors qu’en 1881, l’ingénieur Français Gustave Trouvé présente sa voiture électrique à l’Exposition Internationale d’Electricité, c’est en 1996 que Peugeot fabrique et commercialise, dans l’est de la France, les premiers scooters électriques. Leurs performances sont alors équivalentes à celles d’un véhicule deux roues à moteur thermique de moins de 50 cc, avec une vitesse limitée à 45 km/h et une autonomie estimée entre 45 et 75 km. 

C’est le principe de l’aimant qui régit le fonctionnement d’un moteur électrique : la pièce statique, le stator, existe la pièce mobile, le rotor, afin de créer une force entraînant un mouvement rotatif. Un axe est installé sur le rotor afin de récupérer l’énergie mécanique et la transmettre à la roue arrière, par l’intermédiaire d’une courroie ou d’une chaîne (de transmission). 

Les moteurs électriques se divisent en deux catégories, les moteurs « brushed » (avec balais) et les moteurs « brushless » (sans balais), ce dernier étant majoritairement utilisé car en limitant les frottements et l’entretien, il augmente le rendement. 

Le moteur, généralement intégré dans la roue peut aussi être situé dans le scooter, générant l’énergie à la roue à l’aide d’une transmission (moteurs CPM).

Le contrôleur, équivalent du système d’injection pour un moteur thermique, assiste le moteur électrique en gérant l’accélération, la puissance, le frein moteur et la récupération d’énergie. Il existe divers assemblages des pièces électroniques et divers process technologiques, favorisant la puissance ou l’autonomie.

La puissance des scooters électriques

Le moteur électrique qui équipe les e-scooters peut avoir deux puissances :

  • 50 cm3 : avec une puissance idéale pour les petits trajets, les scooters 50 cm3 (50 cc) appartiennent à la catégorie L1e. Leur vitesse est limitée à 45 km/h, leur puissance maximale n’excède par les 4 000 Watts et leur autonomie se situe entre 45 et 60 km.

Le permis AM ou B est nécessaire.

  • 125 cm3 : c’est la puissance adaptée aux longues distances. La puissance, située entre 4 000 Watts et 11 000 Watts, en fait un scooter assimilé aux 125 cm3 (scooters thermiques). Il appartient à la catégorie L3e et peut rouler à 90-100 km/h avec une autonomie d’environ 100 km.

Le permis B (+ 7 h de formation) est nécessaire.

Ce type de scooter électrique peut circuler sur les voies (rapides) dont la vitesse n’est pas limitée à 50 km/h.

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Comment réduire la consommation énergétique dans les entreprises

Comment réduire la consommation énergétique dans les entreprises 10

Qu’est-ce que l’efficacité énergétique ?

Par définition, l’efficacité énergétique est le rapport entre l’énergie utile produite par un système et l’énergie totale consommée pour son fonctionnement.
Le terme d’efficacité énergétique est utilisé pour définir toutes les actions ou produits visant à réduire la consommation d’énergie tout en gardant le même rendu final.

Quelle est l’importance de l’efficacité énergétique ?

De nos jours, l’efficacité énergétique est devenue une préoccupation majeure. Le secteur du bâtiment étant le plus gros consommateur énergétique. Il utilise près de 40% de la production d’énergie. En plus de cela, ce secteur est également responsable de plus 25% des émissions à effet de serre. C’est pourquoi il est indispensable d’améliorer l’efficacité énergétique des bâtiments.
Cela permettrait entre autres de réduire les coûts d’énergie

Comment améliorer l’efficacité énergétique

Pour rester dans le secteur des bâtiments, nous allons voir les différentes manières de réduire la consommation énergétique de ces derniers. De manière passive avec des modifications du bâtiment en lui-même et de manière active avec l’implémentation d’outils permettant l’optimisation des performances que vous pourrez retrouver ici.

Les solutions passives

Avant toutes démarches visant à améliorer l’amélioration de l’efficacité énergétique de votre bâtiment, vous devez réaliser un audit permettant de connaître les points à améliorer.

Voici quelques éléments permettant de réduire les dépenses énergétiques d’un bâtiment :

  • La conception du bâtiment. Même si la brique ou le parpaing est le matériau le plus utilisé dans la conception d’architecture, ce ne sont pas les éléments ayant les meilleures performances énergétiques. En effet, le béton cellulaire ou la brique a alvéoles seront de meilleurs isolants thermiques. La toiture, les portes ou les fenêtres sont autant d’élément permettant une déperdition de chaleur. Il faut donc améliorer leur isolation avec du double vitrage, de la laine minérale…
  • La plus grande source de consommation est le chauffage. Afin de réduire ces coûts, il est possible d’installer des solutions tels que des systèmes solaires, des chauffages biomasse et autre.

Les solutions actives

Ces systèmes ont pour but de diminuer la consommation d’énergie en optimisant le fonctionnement des équipements et en utilisant l’énergie nécessaire uniquement.

Les systèmes dit intelligents permettent de contrôler, d’analyser et réguler la consommation.
Pour la gestion de la température par exemple, il est possible de se procurer des transmetteurs sans fil permettant d’assurer le suivi de température d’un espace (intérieur ou extérieur). Ces capteurs peuvent ainsi être relié à un automatiseur permettant de réguler la température en fonction des données récoltées.
Il en est de même pour la gestion de l’éclairage, il peut varier en fonction de la luminosité de la pièce.
Dans l’industrie, le fonctionnement des moteurs représente une grande partie de la consommation énergétique du bâtiment. Des variateurs de vitesse peuvent être installer afin de contrôler la consommation d’énergie en fonction des besoins réels.

La mise en place de toutes ces solutions va participer à l’amélioration des performances énergétique, cependant le comportement du personnel jouera un rôle majeur dans la diminution de la consommation énergétique.

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Comment bien se servir d’un détecteur de métaux ?

Comment bien se servir d’un détecteur de métaux ? 12

Pour le loisir et la chasse au trésor, ou pour des raisons professionnelles, vous pouvez être amené à utiliser un détecteur de métaux. Véritable tendance dans les campagnes il y a de nombreuses années, le grand public n’a plus vraiment l’occasion de faire des recherches avec cet objet dans notre société actuelle, d’autant plus que l’utilisation d’un tel appareil n’est pas si simple qu’il paraît, surtout depuis que le code du Patrimoine pose quelques restrictions à son sujet. Réglage, prise en main et articles de loi, passons en revue quelques astuces à respecter pour se servir au mieux d’un détecteur de métaux.

Qu’est-ce qu’un détecteur de métaux ?

Le détecteur de métaux est un appareil qui permet de rechercher des objets métalliques dans le sol, grâce à l’induction magnétique. Prisé dans de nombreux secteurs, des métiers de la sécurité (recherches d’armes ou de bombes) aux militaires, en passant par les chasseurs de trésor, il est surtout utilisé en archéologie, pour retrouver des objets enfouis depuis des siècles. S’il a longtemps pu être utilisé librement, sans aucune restriction, ce n’est plus le cas en France.

Comment prendre en main un détecteur de métaux ?

La détection paraît être un processus assez simple, mais il est pourtant nécessaire d’avoir quelques connaissances, sous peine de ne pas réussir à trouver un seul objet. Ainsi, pour apprendre à connaître votre détecteur de métaux, posez-le sur une surface plate et soumettez-le à quelques objets métalliques de votre choix. Pièce de monnaie, bijoux ou capsules de bières, les possibilités sont nombreuses. Jouez avec la distance de ces objets, pour apprendre les différentes réactions du détecteur et ainsi ne pas vous retrouver démuni sur le terrain.

Un détecteur de métaux se compose de nombreux boutons et fonctions, avec lesquels il est nécessaire de s’acclimater pour obtenir des résultats. Un entraînement avant mise en situation réelle paraît donc être la plus intelligente des façons de procéder.

Une fois sur le terrain de recherche, balayez le détecteur au plus près du sol, de droite à gauche, en évitant de préférence les changements importants de distance entre son disque et ledit sol. Lors de votre balayage, décrivez de petits arcs de cercle, qui ne dépassent pas un m² de surface dans l’idéal.

Sachez que plus les signaux sonores du détecteur sont faibles, plus la profondeur de l’objet trouvé est importante. Les pièces ainsi détectées sont souvent très anciennes.

Peut-on se servir d’un détecteur de métaux sur tous les terrains ?

Comme nous le disions plus haut, la loi pose quelques contraintes quant à l’utilisation d’un détecteur de métaux. En effet, l’article L 542-1 du code du Patrimoine informe que si l’on souhaite se servir d’un détecteur pour une chasse au trésor sérieuse, afin de trouver des objets préhistoriques, historiques, artistiques ou archéologiques, il est obligatoire de détenir une autorisation préfectorale. Tout trésor ou objet rentrant dans les limitations sus-citées, mais obtenu sans cette autorisation, ne pourra devenir la propriété de celui qui l’a découvert.

La loi est incontournable, et certains amateurs l’ont constaté avec leurs trouvailles. Citons par exemple le cas de ce collectionneur, qui avait rassemblé 528 pièces de monnaie anciennes, au gré de ses recherches sur le terrain, pour une valeur totale de 120 000 €. Vous l’aurez compris, son trésor lui a été saisi. Soyez donc vigilant à ce sujet lorsque vous partez à la recherche d’objets précieux et anciens. Pour en savoir plus sur la loi afférente aux détecteurs, vous pouvez lire ce très bon article sur le sujet.

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Les objets connectés : une aide au quotidien

Les objets connectés : une aide au quotidien 14

Les objets connectés sont devenus indispensables à beaucoup de sociétés, mais les fabricants se tournent également vers le quotidien des particuliers en développant des objets connectés dédiés.

Les objets connectés font maintenant partie de notre vie en apportant une aide véritable et, des séniors aux plus jeunes, ces objets connectés prennent une importance qui augmente de façon régulière !

Les objets connectés, qu’est-ce-que c’est ?

L’IoT (Internet of Things) ou IoD (Internet des objets) est, par définition, « la relation réciproque entre internet et des objets (connectés), lieux et environnements physiques ». En France comme dans le Monde entier, l’utilisation des objets connectés participe grandement au développement de nombreuses sociétés. La mise en œuvre de cette démarche impose d’implémenter des technologies novatrices afin de capter les données, de les transmettre afin qu’elles soient stockées (Google Cloud) et traiter via des applications (algorithmes) dédiées.

Les sociétés spécialisées en domotique conçoivent des objets connectés pour le domaine professionnel comme pour les particuliers. Chaque objet connecté est capable de fonctionner en toute autonomie grâce aux capteurs qui collectent les données environnementales spécifiques à chaque objet connecté : chaleur ambiante pour un thermostat, intrusion pour une alarme, reconnaissance du faciès pour un interphone.

Ces données sont stockées (Google Cloud) et transmises à un support informatique (smartphone, ordinateur, tablette). Elles sont alors analyser via des applications spécifiques afin de déclencher des actions adaptées en retour : arrosage automatique activé en fonction de l’heure.

Les objets connectés, une aide au quotidien

Différents domaines bénéficient de la technologie des objets connectés, parmi les plus courants, on peut citer : la surveillance (caméra connectée), la santé (pilulier connecté), les économies d’énergie (thermostat connecté), la gestion des stocks (capteur sur colis), la sécurité (interphone connecté), l’environnement (capteur sur tracteur), etc.

Mais la série des objets connectés ne s’arrêtent pas là car beaucoup d’autres sont utilisés de façon plus personnelle et rendent de véritables services. Par exemple, la montre connectée peu prévenir des problèmes de santé : capteur de rythme cardiaque, surveillance du sommeil ou analyse du taux d’oxygène dans le sang. Elle est également très utile aux sportifs qui ont la possibilité de faire des courbes de leurs performances via une application spécifique.

Dans une maison, les objets connectés apportent un véritable confort de vie : la climatisation connectée optimise la régulation de la température ; le système intelligent d’arrosage automatique ; les alarmes connectées rassurent, et le pilulier connecté évite, en particulier aux séniors, d’oublier de prendre leur traitement. Toutes les données issues de chacun de ces objets sont gérées à distance, de même que l’interphone connecté, en mesure d’identifier la personne qui se présente à votre domicile. Une application analyse les informations envoyées par les capteurs et vous transmet le résultat de l’analyse.

La perspective d’une aide au quotidien, y compris à domicile, est bien réelle et ce sont les objets connectés qui vous l’offre. Ils sont utiles, simple d’installation, capables d’autonomie, économes en énergie et accessibles à des prix raisonnables !

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